Ce sont la fréquence et la réitération des actes de VIOLENCE MORALE dans le temps qui rendent le processus pervers et destructeur.
Un processus qui ressemble à celui des sectes et fait des auteurs des gourous imposant leur tyrannie à un cercle restreint de personnes : leur famille.
Une relation asymétrique dominée par la violence sous toutes ses formes et qui aboutit à la soumission des proies.
Les victimes sont captées dans une emprise déshumanisante parce que désubjective ( 1993) (Tobie NATHAN).